Liege Airport – Élu Meilleur aéroport cargo au monde!
La 36ème édition des Air Cargo News Awards à Londres a couronné Liege Airport (6ième aéroport cargo en Europe et 1er en Belgique) « Meilleur aéroport cargo au monde pour l’année 2020 » ! Alors qu’il était en compétition avec des aéroports tels qu’Amsterdam Airport Schiphol, Anchorage International Airport (US), ou encore Hong Kong International Airport, Liege Airport s’est vu récompensé pour la qualité de ses opérations cargo et son esprit d’innovation.
L’aéroport, spécialisé dans le full cargo (#freightersfirst), traite 66% du fret européen et relie plus de 250 aéroports dans le monde grâce à ses partenariats avec TNT (arrivé en 1998), Fedex, Air China Cargo, Qatar Airways, etc.
Choisi par le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies comme une de ses plates-formes logistiques mondiales, Liege Airport se positionne comme un aéroport santé. Maillon essentiel dans la gestion de la crise sanitaire, l’aéroport international n’en oublie pas moins la communauté locale : il accueille ainsi en ce début décembre, dans le cadre de la lutte contre la pandémie de Covid-19, le premier « village testing » de Wallonie – 350 m2, pour le grand public – en partenariat avec la Croix-Rouge.
Mais le transport du matériel médical et humanitaire ou des produits pharmaceutiques et périssables n’est pas l’unique spécialité de Liege Airport, également la référence en Europe pour le transport express, le commerce électronique ou le transport d’animaux vivants (plus de 3500 chevaux y sont hébergés ou y transitent par an).
L’aéroport, qui connait la croissance la plus rapide d’Europe depuis plusieurs années, vient d’atteindre 1 million de tonnes transportées ce 2 décembre 2020 et génère 8700 emplois, directs et indirects… Une occasion de plus pour féliciter Luc Partoune, CEO de Liege Airport, et toute son équipe !
Baromètre 2020 de maturité numérique des entreprises
La maturité numérique des entreprises wallonnes est-elle comparable à celles des entreprises françaises ? A l’heure où l’Agence du Numérique (AdN) sort son Baromètre 2020, la question mérite d’être posée.
Véritable outil d’intelligence territoriale édité dans le cadre de Digital Wallonia (DW), le Baromètre de maturité numérique permet de mesurer l’évolution de la maturité digitale des entreprises wallonnes et d’orienter en fonction les politiques publiques.
Basé sur un échantillon de 3000 sociétés, il s’articule autour de 4 axes de mesure : infrastructure technologique, gestion des ressources humaines, digitalisation des processus métiers, digitalisation de la stratégie commerciale.
Si les résultats des entreprises wallonnes sont meilleurs qu’en 2018, tout comme en France les disparités entre entreprises sont grandes et plusieurs scores se doivent encore d’être améliorés.
En termes d’infrastructure IT et de connexion internet, les entreprises wallonnes sont globalement assez bien équipées. Dès lors, comme l’analyse DW, c’est plutôt la qualité de la connexion qui sera l’élément différenciateur pour la compétitivité des entreprises. Les Français l’ont bien compris, qui s’inquiètent de la difficulté de convertir les abonnés ADSL à la fibre ou au très haut débit, ou encore des déserts numériques dans l’Hexagone, où aucun réseau n’est captable sur un smartphone.
De part et d’autre de la frontière, la crise sanitaire a mis en lumière l’urgence de former le personnel des entreprises au digital et de flexibiliser la production grâce aux outils numériques. Dans une économie de plus en plus virtuelle, l’avenir d’une entreprise passe désormais par sa capacité à rebondir numériquement et par la vitesse à laquelle elle le fait.
Si la Belgique a un léger avantage sur la France au Digital Economy and Society Index (DESI) 2020, l’AdN met tout en place pour le consolider, avec le lancement des programmes UpSkilling pour augmenter l’employabilité de la force de travail, Keep it Secure pour sensibiliser nos sociétés à la cyber sécurité, ou encore du tout nouveau DigiScore, outil gratuit d’évaluation en ligne pour les entreprises.
VIVES IUF – Premier fonds d’investissement inter-universitaire européen
L’UCLouvain a lancé en novembre 2020, en collaboration avec quatre autres universités (KULeuven, Université de Paris Diderot Descartes, Université du Luxembourg et l’Université de Wageningen aux Pays-Bas), le premier fonds d’investissement inter-universitaire européen, dans le but d’accélérer la recherche scientifique de pointe de leurs spin-offs, start-ups et scale-ups.
Géré par la SOPARTEC, la société de transfert de technologie et d’investissement de l’UCLouvain, le VIVES Inter-University Fund (VIVES IUF) investira dans des projets ayant un impact sociétal positif, dans quatre secteurs essentiellement : la santé (domaine cher aux universités belges), l’agritech, l’espace et l’ingénierie au sens large (le digital, l’IoT etc.).
Alors que de nouvelles levée de fonds sont prévues prochainement pour atteindre une dotation de 50 millions d’euros, VIVES IUF aura une durée de vie de 12 ans et interviendra dans des projets à concurrence de 5 millions d’euros maximum par dossier.